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                 Parler de pompes ça paraît être une drôle d'idée...On pense tout de suite à celles infligées aux troufions du...


        

        Parler de pompes ça paraît être une drôle d'idée...On pense tout de suite à celles infligées aux troufions du service militaire par l'adjudant ! 
        Mais dans la société actuelle où l'eau devient plus rare que le pétrole on se souvient de nos villes dotées d'un autre genre de pompes publiques...On en trouvait partout, d'abord parce qu'il n'y avait pas l'eau courante dans toutes les maisons, et ensuite parce qu'on s'en servait gratuitement ! 
        C'était ce qu'on appelait «  l'eau de la ville », sans facture et sans abonnement !
Les pompes étaient placées un peu dans toutes les rues et sur les places et on pouvait s'en servir quand on voulait ! On obtenait l'eau en actionnant un levier à bras, un robinet, une boule à tourner, un dispositif à presser...etc. et on remplissait seaux et arrosoirs, ou bien on laissait couler en continu pour nettoyer les trottoirs et les caniveaux ! Ça paraît invraisemblable mais il n'y a pas très longtemps même les Réolais nettoyaient quotidiennement le trottoir devant chez eux et la « rigole » qui allait avec ! Les temps ont légèrement changé depuis...
        A La Réole il y avait une vingtaine de pompes, sur les quais, avenue Carnot, à la Halle, au coin de la rue Cambes, aux Jougadoux, au Martouret, rue André Bénac, aux Tilleuls et à plein d'autres endroits !
        Le fait remarquable était la présence de ces pompes également dans chaque lieux abritant des enfants ! Ainsi, la population de la ville étanchait sa soif, la bouche vissée à même le tuyau, que ce soit au coin des rues, dans la cour de la Communale ou celle de l' Amicale Laïque à la garderie du jeudi, sans aucune précaution hygiénique ! Grands et petits, sédentaires ou de passage, se succédaient sans rinçage ! 
        Vers 1960 on commença à rapporter des cas de poliomyélite en grandes villes...Les pompes furent déclarées insalubres...L' eau n'y était bien sûr pour rien puisque c'est nous qui l'avions infectée...Alors on commença à la mettre dans des bouteilles en plastique....Les belles pompes décorées furent détruites et plus personne ne se remit à pomper...
        A part les Shadoks à la télévision bien sûr...

Christo Laroque  31 janvier 2019

Une carte des pompes actuelles ou anciennes de La Réole



Un album photo du Puits Artésien ici

Les pompes Bayard des années 60  


La pompe Bayard du Rouergue dans les années 50
Pompe Bayard

Manivelle

Une pompe à l'hôtel de ville en 1916 ? (sous le panneau Picon !)


     L'accès au quartier du Rouergue se fait via un pont suspendu.   L'accès au pont du Rouergue bientôt totalement interdit Déjà in...

    L'accès au quartier du Rouergue se fait via un pont suspendu.

 


L'accès au pont du Rouergue bientôt totalement interdit


Déjà interdit aux véhicules, l'ouvrage vital pour la commune mais fragilisé ne sera bientôt plus accessible du tout. La municipalité est vent debout contre la décision du Département

Jérôme Jamet

jamet@sudouest.fr


Le pont du Rouergue, qui re lie les deux rives de la Garonne à La Réole, en Gironde, va être totalement fermé à la circulation. Déjà interdit aux véhicules depuis août 2021 par mesure de sécurité, l'emblématique ouvrage suspendu ne pourra plus être emprunté non plus par les cyclos et les piétons, coupant la ville en deux.


Selon le maire de La Réole, Bruno Marty, la fermeture est imminente. Cette mesure provisoire sera prise par le Département de la Gironde qui a averti le maire mercredi. Le soir même, le conseil municipal a voté à l'unanimité une motion contre cette décision unilatérale Sollicité par Sud Ouest, le Département, propriétaire du pont, n'a pas expliqué la situation pour le moment. Mais selon Bruno Marty, le pont sera fermé dès que les températures passeront en dessous des 5 degrés. Le froid entraînerait des risques structurels pouvant remettre en cause la solidité de l'édifice de métal. Or de telles températures sont attendues sur le Réolais à partir de mercredi prochain.


Le pont sera dès lors fermé pour une durée indéterminée, m'a annoncé hier le Département, rapporte Bruno Marty. Cela pourrait durer jusqu'aux mois de mai ou juin. C'est une douche froide alors que le Département s'était engagé à réaliser des travaux importants de rénovation pour rouvrir le pont à la circulation des véhicules sur une voie. Aujourd'hui, il n'y a plus de travaux annoncés, tempête le maire.


  • Mesure radicale


En décembre dernier, 20 suspentes métalliques sur les 194 qui relient les câbles porteurs au tablier avaient été remplacées. Les anciens câbles et d'autres éléments ont été confiés au Centre d'études et d'expertise sur les risques, l'environnement, la mobilité et l'aménagement (Cerema), qui devait les expertiser afin de connaitre la réalité de l'état de l'ouvrage


Il semble que les conclusions de l'étude du Cerema ont conduit le Département à prendre cette mesure radicale de sécurité. Mais Bruno Marty reproche au Département de ne pas avoir été informé des résultats de cette étude, connus, selon lui, depuis plusieurs mois. Cela devait être fait en transparence avec nous. Mais j'ai été informé au dernier moment. Nous aurions dû être associés à cette décision grave qui va fracturer la ville en deux.

 Cordon vital entre les deux rives du fleuve, le pont permet de relier le centre-ville au quartier du Rouergue, sur la rive gauche. Les habitants qui l'utilisent quotidiennement à pied ou en cyclo devront faire une boucle de 5 km en voiture pour se rendre dans le centre-ville, via le pont de la D9 qui traverse la Garonne en amont.


Inauguré en 1935, le pont du Rouergue est en mauvais état, fragilisé par la corrosion. Il est depuis plusieurs années surveillé de près par les services du Département, propriétaire de l'ouvrage. De premières études avaient été engagées après l'effondrement en 2019 d'un ouvrage similaire à Mirepoix-sur Tarn (31) qui avait causé la mort de deux personnes. Elles ont conduit depuis l'été 2021 à interdire la circulation de tous les véhicules.


Sur les réseaux sociaux, où le maire a alerté ses concitoyens, de nombreux habitants s’inquiètent déjà des conséquences pour rejoindre les établissements scolaires, la gare, les administrations, les commerces, le marché... Si le pont ferme aux piétons, je fais comment pour amener mes enfants à l'école ? Je n'ai pas de permis, témoigne une habitante du Rouergue.

Sud Ouest




Le premier pont a été construit en 1835. 

Architecte(s) : Jules Seguin - Ferdinand Jean Bayard de la Vingtrie  
Compagnie(s) : Sté des 4 ponts de la Garonne - Bayard de la Vingtrie. 
Le pont fut à péage jusqu’en 1872 (un centime pour le passage d’un piéton).
Les piles étaient en pierre, la travée de 165 m de long et 4.45 m de large suspendue par des chaînes de fer.  

Cliquez sur les photos pour les agrandir
Pont "La Réole"
Ce pont était à péage


in : Tablettes – journal de l’arrondissement de La Réole - 1835-05-04- n°99
 [Archives départementales de la Gironde cote :SU 75(6) 1]

On voit à gauche du pont le local de péage et à droite la maison Aubagnan


    Le nouveau pont a été construit en 1934  

et inauguré le 21 mars 1935 (sans test de charge suite à l'accident de 1931 à Saint Denis de Pile : Reconstruit par Gaston Leinekugel Le Cocq en 1931,  il s'effondra lors des essais de mise en charge, faisant une vingtaine de victimes, l’un des lourds camions utilisés ayant causé l’arrachement ses tiges de suspension d’un tablier trop élargi par rapport aux culées d’origine. Gaston Leinekugel le Cocq fut une nouvelle fois blessé,  mais son fils, Jehan,  âgé de 25 ans, alors directeur de l’usine de Larche y laissa la vie…
    Le pont fut reconstruit en 1941 et reste en service de nos jours... 



Le pont du Rouergue de 1934
Les piles sont métalliques, la travée de 168 m, 
le tablier : entraxe des poutres : 6.80 m, largeur totale : 9.80 m et les suspensions par câble


Gaston Leinekugel le Cocq  qui a  créé en 1922 sa propre entreprise  à Larche  en Corrèze où il s'installe, partage néanmoins la direction de l'usine de ce dernier avec Georges Arnodin, 
(“ Ets. Ferdinand Arnodin, MM. G.Arnodin et G. Leinekugel Le Cocq, fils et gendre successeurs”).

La construction du pont 
1934 - Construction du Pont : Casquette blanche à gauche
Jean Poitevin grand père de Bernard Sanderre


Le pont peut servir de logo aux commerçants Réolais

En 1937 un hydravion anglais s'est posé sur la Garonne et est resté une semaine au niveau du camping actuel pour être dépanné. Il a redécollé sous le regard des réolais massés sur le pont. C'était un Vickers Supermarine Scapa

Hydravion amarré à la drague face à la Gare
Départ de l'hydravion : foule amassée sur le pont

L'hydravion raconté par Daudi Aubagnan ancien Réolais habitant le coin du pont
 


Les mécaniciens en action (Photo B Mangeot)

- Le pont de bateaux

    En 1938 un câble  ayant  rompu le pont a été fermé plusieurs mois et remplacé par un pont de bateaux installé par le Génie puis en 1940 par une navette fluviale lorsque l'armée a récupéré son matériel pour aller défendre les frontières. (le 29 décembre 1939)

































Un bus sur le pont de bateaux
(photo transmise par Michel Dader)

Michel Dader a aussi trouvé sur Rétro News des articles traitant du pont du Rouergue : ici
Voici cet article de "La France de Bordeaux" transcodé :

Le lancement d'un pont de bateaux à La Réole
Pour joindre les deux rives de la Garonne, momentanément séparées par l'accident survenu au pont métallique, les militaires, en cinq heures, ont réalisé une liaison nouvelle
______________
(DE NOTRE ENVOYE SPECIAL)

On sait que, le 28 mai dernier, un culot de retenue des câbles de soutènement du pont suspendu de La Réole ayant cédé, la circulation des véhicules fut suspendue, les piétons seuls gardant le droit de passage.
Huit jours plus tard, un autre culot s'ouvrait à son tour, provoquant le fléchissement d'un second cable ; et, dès lors, l'accès du pont fut interdit à tous, piétons, automobilistes, charretiers, la traversée en barque restant le seul moyen de liaison entre l'Entre-Deux Mers réolais et le Bazadais.
Emu de cette situation, extrêmement pénible pour les populations, tant réolaises que bazadaises, M. le député de La Réole, René Thorp, fit tant et tant avec obstination et volonté, qu'il parvint à obtenir la réalisation d'une liaison provisoire des deux rives par un pont de bateaux.
C'est ce pont-là qui a été jeté dimanche, en cinq heures, par le génie militaire, avec une activité, une célérité, une réussite complètes.
Grâces en soient rendues au dévoué député de La Réole qui, en la circonstance, a bien mérité de ses commettants.

L'installation du pont de bateaux
C'est un détachement de 196 hommes du 6e génie d'Angers qui a mené à bien l'établissement du pont.
Le matériel nécessaire à l'entreprise était arrivé dans la semaine par voie ferrée. 
Samedi 15 juillet, à 10 heures, 61 hommes, dont 1 officier, 9 sous-officiers et 51 soldats, arrivaient à leur tour.
Le même jour, à 15 heures, un nouveau contingent de 4 officiers et 135 hommes, sous-officiers et soldats, se trouvaient à pied d'œuvre, à côté de leurs camarades.
Dès samedi soir, les têtes de pont, rive droite et rive gauche, étaient solidement ancrées. Dimanche matin, dès le jour, les sapeurs du 6° génie se mettaient à l'ouvrage et, avec une déconcertante rapidité, les bateaux s'alignaient, les poutres de soutènement se jointaient, le plancher s'allongeait,
Les hommes en bourgeron* blanc, munis du plastron de kapok dit de sauvetage, s'affairèrent cinq heures durant sous la conduite immédiate du sous-lieutenant Trièze, cheville ouvrière de tout ce jeune monde en travail, en bel et bon travail,
Les embarcations, glissant sur le fleuve, se plaçaient si vite, si vite, qu'on en perdait le compte; le tablier de fers à U s'échaffaudait sur les barques; le plancher recouvrait les fers a U.
Vers midi, l'ouvrage était presque à point. 
Les coups de marteau ou de maillet assuraient la finission des jointures; les ancrages des barques se faisaient définitifs : 160 mètres de pont flottant étaient hardiment réalisés.
Travail prestigieux, accompli avec une sûreté méthodique qui remplit d'étonnement et d'aise les quelques quatre ou cinq mille curieux accourus, tant au bord de la digue rive droite que sur les terrains de rive gauche.
Et comme une expérience aussi instructive ne saurait assez être exploitée, M. le colonel du 6° génie, tandis que les bateaux s'ajoutaient aux bateaux, fit une conférence érudite à de nombreux officiers de réserves convoqués à cet effet. 
*Courte blouse de toile que portent les ouvriers, les soldats, pour certains travaux

La parade
A 1 heure de l'après-midi, la jonction était réalisée. Au coup de sifflet des chefs, les pontonniers s'étant placés à la pointe des embarcations, levèrent leurs avirons droit vers le ciel; et bor dés à babord et à tribord par ce garde à vous spécial, M. le colonel chef d'état. major de la région; M. le colonel commandant le 6° génie; M. le commandant Froissard, du génie de Bordeaux; M. le député René Thorp; M. Grillon, maire de La Réole, et ses adjoints, MM. Trey et Laporterie ; MM. Valentin Maurin, conseiller général de Pujols-sur Dordogne, et Cyprien Lacoste, maire et conseiller général de Saint-Symphorien; M. l'ingénieur en chef du service vicinal Ballan; M. Ingénieur Godichon, de La Réole; M. Vion, sous-préfet suivis de nombreuses notabilités locales, effectuaient, aller et retour, le premier passage.
Après quol, les chefs s'étant placés sur la promenade du Port, les sapeurs, soudain transformés, impeccables sous leur capote bleue, rapidement échangée contre les treillis de travail, jambières aux mollets, marchant alignés comme à la parade, défilèrent, fiers et dégagés, pour rejoindre leur réfectoire où un repas confortable, arrosé de bons vins vieux offerts par l'édilité réolaise. 

Un repas cordial
A l'hôtel Terminus, les officiers et officiels se retrouvèrent en un repas cordial, mais animé et de choix.
Les officiers de réserve avaient leur table ; aussi les sous-officiers du 6e génie.
Aux personnalités déjà citées, s'étaient jointes des notabilités locales ou régionales, parmi lesquelles M. Carrier, président du Syndicat des automobiles de place et de garage de la ville de Bordeaux; M. Monnusseins; les conseillers municipaux de La Réole, etc., etc.

Dîner soigné, vins excellents, ambiance parfaite.
Au dessert, M. le député René Thorp exprima avec chaleur sa reconnaissance au 6° génie, à son colonel éminent, à ses officiers, à ses sapeurs experts, et se félicita du moyen de communication, si nécessaire, entre les deux rives garonnaises heureusement et brillamment réalisé.
M. le colonel du 6° génie, en une allocution remarquable, marquée au coin de l'érudition la plus éclectique, répondit au député et rendit hommage à ses sapeurs, fiers de leur arme et de leur science, l'une et l'autre vouées au profit des autres armes, selon le mot du président Daladier. Il termina par un hommage délicat à la terre girondine, par un toast à la France, vigilante et sûre de sa force.
M. Grillon, maire de La Réole, en quelques paroles amicales, remercia M. le député Thorp de son action efficace pour la réalisation du pont de bateaux de La Réole, et eut des mots fort aimables pour le 6e génie, ses sapeurs et son chef éminent.

Pour finir
C'est sur ces aimables paroles que se termina une journée importante pour la région réolaise puisqu'elle a pratiquement supprimé son demi-isolement avec le Bazadais.
Le pont de bateau réalise, en effet, la jonction de La Réole, par Fontet, avec Aillas, Grignols et Bazas.
Ajoutons que la journée se déroula sous le signe du variable: les averses succédant au soleil, celui-ci cédant aux averses. Il paraît, au dire des augures, que c'est promesse de succès dans les entreprises.
Celle d'aujourd'hui a été conclue pour une durée de trois mois, et pour un passage de véhicules jusqu'à 11 tonnes de poids total.
D'ici là, le pont métallique doit être réparé, ce qui est possible, non pas certain. Mais comme 35 sapeurs du 6e vont rester à La Réole, pour veiller aux grains et aux barques, envisageons les jours qui viennent avec confiance !
Dans l'après-midi, le nombre de piétons qui traversa le nouveau pont, fut considérable.
On a beau faire le malin, une plateforme au ras de l'eau, bien que ce ne soit point dangereux, ça fait tout de même quelque chose, au moins les premiers jours.

Max G.-L.

- La Piscine flottante

Pendant la guerre une piscine flottante fut installée accrochée au pont


Le piscine racontée par Daudi Aubagnan ancien Réolais 

- Plonger ou sauter du haut du pont

Une tradition consiste à sauter voire plonger du pont du Rouergue. Beaucoup ont sauté du pont mais certains ont plongé : qui est ce courageux garçon ?



et plus récent : vidéo de 2008



Ninou du Rouergue Début janvier 2019 c'est une figure marquante du quartier du Rouergue qui disparaît. Ninou et son frère Marc...


Ninou du Rouergue

Début janvier 2019 c'est une figure marquante du quartier du Rouergue qui disparaît.

Ninou et son frère Marc Arrouays

Née Arrouays au Rouergue, elle avait tenue la boulangerie des quais sous le viaduc avec 
Jeannot Roques
son mari Jeannot Roquesavant de revenir profiter d'une retraite bien méritée dans la maison familiale du Rouergue en face de la Bastide.
Rive gauche - Rive droite - Rive gauche mais jamais à plus de 100 m de la Garonne !
Elle a été une animatrice très dynamique du comité des fêtes du Rouergue.

Volley-Ball

Après guerre elle a fait partie de l'équipe de Volley Ball féminine section de l'Aviron Sauveteurs Réolais. 

Volley-Ball  Féminin
L'équipe Féminine : Haut gauche : Ninou Roques-Juliette Tomas- Josette Loustaut- XXX- XXX-Juliette Thomas-Janine Bon  ----  Bas gauche : Roselyne Riffaud (ép. Coutareau) - Josette Cots (fille de Frédéric) - Mimi Stel (ép. Savariaud)- Pierre Tomas (entraineur)















Match sur le terrain de la Bastide au Rouergue

Ninou jouera au volley jusqu'à l'âge de quarante ans.


Ninou 2e assise avec les couettes

Jeannette et Ninou
Cliquez sur le titre pour voir les images

































Bien avant Paris Plage tandis que la piscine n'existait pas (ouverte en 1963), la plage se trouvait au Rouergue dans le gravier face à...


Bien avant Paris Plage tandis que la piscine n'existait pas (ouverte en 1963), la plage se trouvait au Rouergue dans le gravier face à Mijéma.
On s'y retrouvait pour bronzer, se baigner, canoter...  
                                       
Album Photo  Clic pour ouvrir l'album

Daudi Aubagnan raconte la piscine sur la Garonne : cliquez sur le texte ci dessous

Cliquez sur les images pour les afficher en grand

Tableau Pierre Laville
La plage du Rouergue, tableau de Pierre Laville

 Paulot, Pierrot Causse, Jo et Jean Petiteau,, René Richard  1927
Garonne, Le rouergue, La réole, Plage
La plage avec des vaches sur l'actuel terrain de camping

Fernand Dupouy pion du Lycée, avec ? en 1922
Jeanne Petiteau et Henriette Bouilleau ép Causse

Le plongeoir pendant l'occupation (à gauche Jacques Baudaux)
Water-Polo
L'équipe de water-polo sur le ponton piscine amarré
au milieu de la Garonne
Les stars de la plage : Paulette Bouilleau, Ninou Roques,, Chardon, X  Haut : X, Jeannette Moliner
Garonne
Paulette Bouilleau, Jacky Causse 1946
En arrière plan la drague du Rouergue et au dessus la plage

Garonne
Marc Richard, Jeannot Roques


Garonne, "Buveur de Garonne"
Autre plage à Lillet  avec la pagaie Gambier l'oncle de Michèle Perrein
qui servit de modèle au "Buveur de Garonne "

Garonne
X, Guitou Flamand, Alain Lamaison, 1960 

Nous avons (presque) tous connu les dragues de la Garonne, La drague à poste fixe devant la plage du Rouergue et la drague flottante avec ...

Nous avons (presque) tous connu les dragues de la Garonne,
La drague à poste fixe devant la plage du Rouergue et la drague flottante avec les barges vidées au collecteur central à côté du stade.


Drague, la réole, Garonne
La drague derrière le stade des quais

Michel Serres était le fils d'un dragueur d'Agen (vidéo Thalassa ci-dessous)


Michel Serres : draguer la Garonne à Agen


Cliquez sur les photos pour les agrandir

Une inondation les grues les pieds dans l'eau, la drague presque sur la digue

Tableau Pierre Laville
La grue les pieds dans l'eau, vue par Pierre Laville
Une drague au milieu de la Garonne,

La drague avec le remorqueur en approche
1967 ? La drague postée devant l'aviron avec la barge presque pleine
  
Patrick Bouilleau en canoé, André Duffau, dans la barge Brigitte Lamaison (Bolzan) et sa nounou Denise Duffau

La drague sous le pont, il n'y a plus qu'une grue sur les quais

Décembre 1981, la drague quasiment dans les jardins du Rouergue





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