Francis apprenti coiffeur chez Dubois |
La Foire de la Toussaint (peint du 23-07-1973_20-10-1973) Propriété de Elisabeth Scherrer Cliquez dans le tableau pour l'ouvrir plein écran La Procession de Pentecôte (110 x 84) (Pas de date au verso)Propriété Mairie de La Réole Ci-dessous en lien des extraits en gros plan du tableau : |
En 1983, une exposition Francis Carretey est organisée dans les couloirs de l'abbaye :
J'y ai perdu mes premières bouclettes vers 3 ans et y suis allé jusqu'à mon départ de La Réole après le bac.
Francis boitait et en souffrait.
Mon père disait qu'ils étaient cousin mais j'ignore par quelle lignée précise.
J'en garde bien évidemment un souvenir tendre.
Son salon était un mélange de peinture et de matériels de coiffure.
Une autre époque, coupe uniquement au ciseau, désinfection du matériel à la flamme et la fameuse eau de Cologne.
C'était un homme d'une tendresse discrète, son sourire l'illustrait bien
Les peintres à La Réole au 20e siècle et 21e siècle (Michel Balans)
Pierre Laville/ Jean Laville/ Pierre Laban Pierro Merlin
Guy Ribéra P. Descouens Marcel Gimenez M. Balans
Françis Carretey André Malaroche M. Chapuis Yannick Ducot
Jacques Thomas J.P. Bouscaru Mme Durand Cécile Pierson
Edith Gorren Stéphane Getas Carole Bielicki J.P. Pendanx
Super article,Carretey le méritait bien.
RépondreSupprimerVu la disposition de la pièce,je pense que la photo est prise dans son salon de coiffure au Martouret.
C'est Pascal son fils qui m'a transmis cette photo qui représente son père lors de son apprentissage chez Dubois.
SupprimerDans son salon,travaillant seul il ne devait avoir qu'un seul fauteuil.
Il me semble plutôt reconnaître le salon de Dubois avec ses 2 lavabos
SupprimerR.Vaillier
Son salon de coiffure était effectivement tout petit, avec une porte et une seule fenêtre.
SupprimerJ'y ai perdu mes premières bouclettes vers 3 ans et y suis allé jusqu'à mon départ de La Réole après le bac.
Francis boitait et en souffrait.
Mon père disait qu'ils étaient cousin mais j'ignore par quelle lignée précise.
J'en garde bien évidemment un souvenir tendre.
Son salon était un mélange de peinture et de matériels de coiffure.
Une autre époque, coupe uniquement au ciseau, désinfection du matériel à la flamme et la fameuse eau de Cologne.
C'était un homme d'une tendresse discrète, son sourire l'illustrait bien.
Oui, bien sûr, c'est dans le salon de Mme Dubois et ses fils Coco et Bébert...Francis Carretey n'a pas fait que son apprentissage, il a été employé chez Mme Dubois avant d'ouvrir son propre salon au Martouret...
RépondreSupprimerMerci Alain de nous faire découvrir ce talent que j’ignorais. Les naïfs tirent de la réalité une grâce inimitable…
RépondreSupprimerJ'ai rajouté votre commentaire dans l'article
RépondreSupprimerSon salon de coiffure était effectivement tout petit, avec une porte et une seule fenêtre.
J'y ai perdu mes premières bouclettes vers 3 ans et y suis allé jusqu'à mon départ de La Réole après le bac.