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Édouard Molinaro, une enfance Réolaise


Édouard Molinaro, une enfance Réolaise

 Édouard Molinaro est né à Bordeaux en 1928, fils de Georges Molinaro, prothésiste dentaire et de Renée Molinaro née Almayrac, chirurgien dentiste.
    Ses parents s'installent à La Réole au milieu des années 30,

Edouard Molinaro : Intérieur soir, page 17
Édouard Molinaro : Intérieur soir, page 17
Éditions Anne Carrière Paris 2009 
ISBN 978-2-8433-7558-3



Georges Molinaro
Renée Molinaro
Édouard, vite surnommé Doudou, commence sa scolarité dans les classes primaire du Collège de La Réole.
     Première rencontre avec E Molinaro  : Annie Grillon née Martranchard 
Les amis du Collège : Pierre Andrieux Laclavetine

C'est pendant cette enfance réolaise qu'il découvre tout ce qui fera le sel de sa vie :

- l'aviation 
Édouard Molinaro : Intérieur soir, page 14

- Le cinéma
Édouard Molinaro : Intérieur soir, page 25

Ayant de la suite dans les idées, Doudou Molinaro envisage de projeter lui même des films pour ses copains d'école !
Édouard Molinaro : Intérieur soir, page 26

Projecteur à manivelle Pathé Baby 9,5 mm
    
Les séances de projection chez Édouard Molinaro 

Puis au bout de quelques mois, sautant le pas, pourquoi ne pas créer directement  ses propres films !
Édouard Molinaro : Intérieur soir, page 28

Enfin elle arrive ! (merci les staphylocoques dorés)..
.
Édouard Molinaro : Intérieur soir, page 44

Caméra Pathé Nationale 9,5 mm
     vidéo 1 -                              vidéo 2 (suite)   
Les staphylocoques à l'origine de l'achat des la caméra :
Pierre Andrieu Laclavetine

Né en 1928, arrivé en 1934 à La Réole, Édouard Molinaro a 12 ans en 1940. 
La vie à La Réole (en zone libre jusqu'en novembre 1942) n'était pas trop dure pour le fils unique d'un couple de dentistes. 

Les activités, hors du lycée :
- L'aviation 
qu'il découvre à l'"Aéroclub de Guyenne et du Réolais" et qui ne le quittera pas.
  

- Le cinéma dont il fera son métier.

Conférence à l'ESRA

- Le vélo,
Édouard Molinaro : Intérieur soir, page 21
Pierre  Andrieu Laclavetine ; Vélo

 - La Garonne l'été,
Pierre (Pierrot) Andrieu Laclavetine ; Garonne

- Les amis d'enfance
Édouard Molinaro : Intérieur soir, page 19

                      Pierre  Andrieux Laclavetine ; les amis de La Réole                                         

 - La foire de la Toussaint  
Édouard Molinaro : Intérieur soir, page 43

- En famille :
    A Pau, ville de son grand père, il assiste au grand Prix avec Nuvolari (p 35), à Mont de Marsan, dans les arènes les corrida et aussi Charles Trenet, l'orchestre de Ray Ventura, au stade les joueurs du Stade Montois et même pendant la guerre les Messerschmitt 109 de l'école de pilotage (p 36).
Vacances au Cap Ferret (p 39), Joséphine Baker à Bordeaux (p 39) et pendant l'occupation un voyage à Paris chez un ami médecin : il voit Pierre Fresnay dans un théâtre des Champs Elysées (p 41) et même un voyage en Corse avec ses parents à vélo Ajaccio-Calvi (p 42).
Une éducation très moderne (les restes de 1936.?) 
La Primastella Renault familiale

    Une vie agréable pour le fils unique d'un couple de dentiste très modernes dans une région relativement épargnée par la guerre.

- Les premières amours
    Les deux réolais les plus célèbres de la deuxième moitié du XXe siècle se sont connus au lycée de La Réole et sont tombés en amour.
Édouard Molinaro : Intérieur soir, page 48

    Michèle Barbe devenue Michèle Perrein journaliste et écrivain à succès suivra une carrière parallèle à celle d'Édouard Molinaro.

- Les premiers films 
    Ce furent bien sûr des courts métrages tournés avec la caméra Pathé Nationale 9,5 mm
Édouard Molinaro : Intérieur soir, page 53


Pierre  Andrieux Laclavetine ; les courts métrages   

    Après son Bac il monte à Paris préparer une licence de philosophie et le concours d'entrée à l'institut des hautes études cinématographiques (p 50).
    Néanmoins il continue ses tournages de courts métrages pendant les vacances scolaires avec ses copains du collège : Pierre Andrieux Laclavetine, Annie Grillon, et surtout Michèle Barbe.
1945 -Court Métrage La Rose et le réséda - de Édouard Molinaro 
1946 -CM Evasion – de Édouard Molinaro
    + scénario, directeur de la photographie & production
1946 -CM Un monsieur très chic – de Édouard Molinaro
    + scénario & production
1946 -CM Le cercle – de Édouard Molinaro
    + scénario & production
1948 -CM Le verbe en chair – de Édouard Molinaro
    + scénario & production
1950 - CM L’honneur est sauf – de Édouard Molinaro avec Michèle Barbe + scénario, montage & interprétation. Tourné pendant les vacances de Noël à La Réole.
1953 - CM Chemins d’avril – de Édouard Molinaro avec Michèle Perrein,  assistant Jacques Christobal

    En parallèle il continue son apprentissage comme assistant et comme réalisateur de courts métrages techniques
1947Un flic – de Maurice de Canonge avec Lucien Coëdel
    Seulement stagiaire assistant réalisateur
1948Le cœur sur la main – de André Berthomieu avec Bourvil
    Seulement stagiaire assistant réalisateur
Du Guesclin – de Bernard de La Tour avec Fernand Gravey
    Seulement troisième assistant réalisateur
1949CM Les eaux prisonnières – de Edouard Molinaro
    + scénario & montage
CM L’âme du vin – de Edouard Molinaro
    + scénario & montage
1950CM Le miracle de Sainte Anne / La langouste qui ne pense à rien 
de Orson Welles avec Suzanne Cloutier
  stagiaire assistant réalisateur & caméraman
CM L’honneur est sauf – de Édouard Molinaro avec Michèle Barbe
    + scénario, montage & interprétation
1953Le comte de Monte-Cristo, 1ère époque : La trahison 
de Robert Vernay avec Jean Marais
   second assistant réalisateur
Le comte de Monte-Cristo, 2ème époque : La vengeance 
de Robert Vernay avec Lia Amanda
   second assistant réalisateur
    En 1954 il réalise une version professionnelle de l'"honneur est sauf"
Geneviève Cluny La femme infidèle
Jean Marsan         Le mari cocu
Édouard Molinaro L'amant
Yves Robert
Prix : Oscar amateur du C. A. C. F. du meilleur interprète à Edouard Molinaro.

    Après cette date Édouard Molinaro se consacre à sa carrière parisienne, ses parents ayant quitté leur cabinet dentaire pour Clairac où son père décèdera en 1957.



Tournage sur le pont


Au Rouergue : Doudou au volant, Guy Ribéra (chapeau melon), Pierre Andrieux (passager)

Ci-dessous : "Chemins d'Avril" tourné en 1953 avec l'aide de Michèle Perrein et Jacques Christobal


Vidéo qui parlent de Édouard Molinaro :


Nous nous sommes tant aimé FR3 - 24'  Ici 
 
La carrière de Molinaro : il parle de La Réole de 3'38" à 4' '48"
 

Mon oncle Benjamin - 9'  Ici  Interview J Brel et E Molinaro

L'emmerdeur- extrait  3'  Ici   Edouard Molinaro joue le rôle du barman
 


E. Molinaro à propos de sa carrière -2000- Vidéo Ina.fr -2'34"  Ici

E. Molinaro  la musique de : Un témoin dans la ville-1960   Vidéo Ina.fr 3'30"  Ici

Des femmes disparaissent - 1959-Entretien avec E. Molinaro - Vidéo Ina.fr Ici

Audio :

Grand Entretien Edouard Molinaro _ François Busnuel - 51'- France Inter Ici

Interview d'Edouard Molinaro- 1969 - Audio- 11' - Ina.fr Ici

Photos  :




Biographie

Né le 13 mai 1928 à Bordeaux, Edouard Molinaro passe son enfance en Aquitaine avant de rejoindre Paris à La Libération. Dès 1947, il fait son entrée dans le monde du cinéma en devenant assistant réalisateur de Maurice de Canonge, André Berthomieu ou Robert Vernay et enchaîne des films industriels ainsi que des courts-métrages.

En 1957, Edouard Molinaro passe à la réalisation de son premier long-métrage «Le dos au mur» d’après Frédéric Dard avec Jeanne MoreauGérard Oury et Philippe Nicaud. Fort de ce succès, il se spécialise dans les films policiers avec Robert HosseinLino Ventura ou Roger Hanin comme interprètes. En marge de la «Nouvelle Vague», celui que l’on surnomme «Doudou» dirige Brigitte Bardot et Anthony Perkins dans «Une ravissante idiote» (1963). En 1967, il est sollicité par Louis de Funès pour l’adaptation de la pièce «Oscar» de Claude Magnier. En dépit des relations orageuses entre le comédien et le réalisateur, le duo se reconstitue pour «Hibernatus» (1969). Le succès de «Mon oncle Benjamin» (1969) avec Jacques Brel occulte les autres longs-métrages plus personnels du réalisateur.

Dans les années soixante-dix, Edouard Molinaro se spécialise dans des pièces de boulevard à succès. «L’emmerdeur» (1973) d’après Francis Veber scelle la rencontre de François Pignon et d’un tueur à gages incarnés par Jacques Brel et Lino Ventura. Les films «La cage aux folles» (1978) et «La cage aux folles II» (1980) d’après Jean Poiret avec Michel Serrault et Ugo Tognazzi sont couronnés de succès. «Pour cent briques, t’as plus rien» (1981) d’après Didier Kaminka révèle Daniel AuteuilGérard Jugnot et Anémone. Parallèlement à sa carrière cinématographique, il fait quelques incursions sur le petit écran où il dirige Simone Signoret ou Michèle Morgan, réalise une mini-série «Claudine» (1978) avec sa compagne Marie-Hélène Breillat et adapte «Au bon beurre» (1980) de Jean Dutourd avec Roger Hanin. Après l’échec de l’adaptation de la pièce «L’amuse-gueule» de Gérard Lauzier sous le titre «À gauche en sortant de l’ascenseur» (1987) avec Pierre Richard, il délaisse le cinéma pour la télévision. Il met en scène des téléfilms ou des séries de prestige dont la production est assurée par Christine Gouze-Rénal. Avec Michel Piccoli en interprète principal, il adapte «La ruelle au clair de lune» (1988) de Stefan Zweig, «Les grandes familles» (1989) de Maurice Druon ou «L’amour maudit de Leisenbohg» (1990) de Arthur Schnitzler.

Dans les années quatre-vingt dix, Edouard Molinaro fait un retour remarqué avec deux films historiques. Dans l’adaptation de la pièce «Le souper» (1992) de Jean-Claude Brisville, il dirige Claude Brasseur et Claude Rich qui composent respectivement Fouché et Talleyrand lors d’un duel verbal dont l’enjeu est l’avenir du pays. Jean-Claude Brisville et Edouard Molinaro collaborent de nouveau à partir d’un scénario inachevé de Sacha Guitry pour «Beaumarchais, l’insolent» (1995) avec Fabrice Luchini. Mais de nouveau, il s’éloigne du cinéma pour la télévision. Il réalise une quinzaine d’épisodes de la sitcom «H» (1998) qui révèle Jamel Debbouze, une adaptation de «Nana» (2000) avec Lou Doillon ou des épisodes de la série policière «Navarro» (2004) avec Roger Hanin. Pour sa belle-fille, Axelle Laffont, il met en scène sa première pièce «Fume cette cigarette» (2011) au Théâtre des Mathurins. Agé de 85 ans, Edouard Molinaro succombe à une insuffisance respiratoire à l’hôpital Tenon, le 7 décembre 2013, à Paris.

© Olivier SINQSOUS

Filmographie

1946       Court Métrage  Evasion – de Edouard Molinaro (tourné dans le réolais)
 + scénario, directeur de la photographie & production

1947        Un flic – de Maurice de Canonge avec Lucien Coëdel
                Seulement stagiaire assistant réalisateur

1948        Le cœur sur la main – de André Berthomieu avec Bourvil
                 Seulement stagiaire assistant réalisateur
                Du Guesclin – de Bernard de La Tour avec Fernand Gravey
                 Seulement troisième assistant réalisateur
                CM Un monsieur très chic – de Edouard Molinaro (tourné dans le réolais)
                + scénario & production
                CM Le cercle – de Edouard Molinaro (tourné dans le réolais)
                  + scénario & production
                CM Le verbe en chair – de Edouard Molinaro
                + scénario & production

1949 CM Les eaux prisonnières – de Edouard Molinaro + scénario & montage
                CM L’âme du vin – de Edouard Molinaro+ scénario & montage

1950 CM Le miracle de Sainte Anne / La langouste qui ne pense à rien ( the miracle of St. Anne / the unthinking lobster) de Orson Welles avec Suzanne Cloutier
 Seulement stagiaire assistant réalisateur & caméraman
                CM L’honneur est sauf – de Edouard Molinaro avec Michèle Barbe (tourné dans le réolais) + scénario, montage & interprétation

1953 Le comte de Monte-Cristo, 1ère époque : La trahison – de Robert Vernay avec Jean Marais
Seulement second assistant réalisateur
                Le comte de Monte-Cristo, 2ème époque : La vengeance – de Robert Vernay avec Lia Amanda. Seulement second assistant réalisateur
                CM Chemins d’avril – de Edouard Molinaro (tourné dans le réolais) + scénario                                  CM La meilleure part – de Edouard Molinaro  + scénario
                CM Cheval d’acier – de Edouard Molinaro + scénario
                CM Demain nous partirons – de Edouard Molinaro   + scénario
                CM Maisons à la chaîne – de Edouard Molinaro  + scénario
                CM La pénicilline – de Edouard Molinaro  + scénario

1954 Votre dévoué Blake – de Jean Laviron avec Eddie Constantine
                Seulement second assistant réalisateur
                CM L’accumulateur au plomb – de Edouard Molinaro + scénario
                CM L’honneur est sauf – de Edouard Molinaro avec Geneviève Cluny
+ scénario & interprétation
                CM Energie, à vos ordres – de Edouard Molinaro + scénario
                CM Quai J4 – de Edouard Molinaro  + scénario

1955 CM Quatrième vœu – de Edouard Molinaro avec Georges Pierre  + scénario

1956 CM Les biens de ce monde – de Edouard Molinaro  + scénario & commentaires

1957 Le tombeur – de René Delacroix avec Denise Grey 
Seulement adaptation, dialogues & scénario
                Le dos au mur – de Edouard Molinaro avec Jeanne Moreau
                CM Les alchimistes – de Edouard Molinaro + scénario
Meilleur documentaire au festival international du cinéma de Karlovy Vary, Tchécoslovaquie
                CM La mer remonte à Rouen – de Edouard Molinaro  + scénario
                CM Appelez le 17 – de Edouard Molinaro  + scénario & directeur de la photographie

1958 Des femmes disparaissent – de Edouard Molinaro avec Estella Blain  + production
                Un témoin dans la ville – de Edouard Molinaro avec Lino Ventura  + dialogues & scénario

1959 Une fille pour l’été – de Edouard Molinaro avec Pascale Petit + dialogues & scénario
                CM Philippe – de Edouard Molinaro avec Loleh Bellon  + scénario

1960 La mort de Belle – de Edouard Molinaro avec Alexandra Stewart
                La morte saison des amours – de Pierre Kast avec Pierre Vaneck  Seulement interprétation
                CM Petit jour – de Jacques Pierre avec Jacques Brel  Seulement interprétation

1961 Les ennemis – de Edouard Molinaro avec Dany Carrel + adaptation, scénario &             apparition
                Les sept péchés capitaux – de Philippe de Broca, Claude Chabrol, Jacques Demy, Sylvain Dhomme, Max Douy, Jean-Luc Godard, Eugène Ionesco, Edouard Molinaro & Roger Vadim avec Dany Saval     Segment « L’envie »

1962 Arsène Lupin contre Arsène Lupin – de Edouard Molinaro avec Françoise Dorléac
+ scénario
                Vacances portugaises / Les égarements / Les sourires de la destinée – de Pierre Kast avec Michel Auclair  Seulement interprétation

1963 Une ravissante idiote – de Edouard Molinaro avec Brigitte Bardot
+ adaptation, dialogues & scénario

1964 La chasse à l’homme – de Edouard Molinaro avec Jean-Paul Belmondo  + apparition

1965 Quand passe les faisans / Quand passe les escrocs – de Edouard Molinaro avec Bernard Blier + apparition

1966 Peau d’espion – de Edouard Molinaro avec Louis Jourdan
+ adaptation, dialogues & scénario

1967 Oscar – de Edouard Molinaro avec Claude Rich  + scénario

1969 Hibernatus – de Edouard Molinaro avec Louis de Funès
                Mon oncle Benjamin, l’homme en habit rouge – de Edouard Molinaro avec Claude Jade et Jacques Brel  + scénario

1970 La liberté en croupe – de Edouard Molinaro avec Jean Rochefort
+ adaptation, dialogues & scénario
                Les aveux les plus doux – de Edouard Molinaro avec Philippe Noiret
+ adaptation, dialogues & scénario

1971 La mandarine – de Edouard Molinaro avec Annie Girardot + scénario

1972 Le gang des otages – de Edouard Molinaro avec Bulle Ogier

1973 L’emmerdeur – de Edouard Molinaro avec Lino Ventura et Jacques Brel
                + interprétation
                L’ironie du sort – de Edouard Molinaro avec Marie-Hélène Breillat
                + adaptation, dialogues & scénario

1974 TV Histoires insolites – de Edouard Molinaro avec Christine Kaufmann
    Série – Réalisation, adaptation & scénario de l’épisode « Un jour comme les autres avec des cacahuètes »

1975 Le téléphone rose – de Edouard Molinaro avec Mireille Darc

1976 Dracula père et fils ( Dracula and son ) de Edouard Molinaro avec Christopher Lee
    + adaptation, dialogues & scénario

1977 L’homme pressé – de Edouard Molinaro avec Alain Delon
                TV Madame le juge – de Edouard Molinaro avec Simone Signoret
    Série – Réalisation de l’épisode « Le dossier Françoise Muller »

1978 La cage aux folles – de Edouard Molinaro avec Ugo Tognazzi  + scénario
                TV Claudine – de Edouard Molinaro avec Marie-Hélène Breillat
    Série – Réalisation des épisode « Claudine à Paris », « Claudine en ménage », « Claudine s’en va » & « Claudine à l’école »
                TV Il était un musicien – de Edouard Molinaro avec Michel Duchaussoy
    Série – Réalisation & scénario de l’épisode « Monsieur Strauss »

1979 Cause toujours…. Tu m’intéresses ! – de Edouard Molinaro avec Jean-Pierre Marielle
                TV La pitié dangereuse – de Edouard Molinaro avec Mathieu Carrière
    + adaptation, dialogues & scénario

1980 Les séducteurs ( Sunday lovers / an englishman’s home / i seduttori della Domenica ) de Dino Risi, Edouard Molinaro, Bryan Forbes & Gene Wilder avec Lino Ventura
    Segment « La méthode française »
                La cage aux folles II – de Edouard Molinaro avec Michel Serrault
                TV Au bon beurre – de Edouard Molinaro avec Roger Hanin

1981 Pour cent briques t’as plus rien… – de Edouard Molinaro avec Anémone
    + scénario & interprétation

1982 TV La veuve rouge – de Edouard Molinaro avec Françoise Fabian

1983 Une fille à marier ( just the way you are ) de Edouard Molinaro avec Kristy McNichol
1984 Palace – de Edouard Molinaro avec Claude Brasseur  + scénario
                La tête dans le sac – de Gérard Lauzier avec Marisa Berenson Seulement scénario
                L’amour en douce / Une amie de passage – de Edouard Molinaro avec Jean-Pierre Marielle

1986 TV Tiroir secret – de Edouard Molinaro avec Michèle Morgan
                Série – Réalisation de l’épisode « La saisie »
                TV Un métier de seigneur – de Edouard Molinaro avec Evelyne Bouix

1987 À gauche en sortant de l’ascenseur – de Edouard Molinaro avec Pierre Richard
                + apparition

1988 TV L‘ivresse de la métamorphose ( rausch der ferwandlung ) de Edouard Molinaro avec Mario Adorf
                TV La ruelle au claire de lune – de Edouard Molinaro avec Michel Piccoli  + scénario

1989 TV Manon Roland – de Edouard Molinaro avec Jacques Perrin  + scénario
                TV Les grandes familles – de Edouard Molinaro avec Pierre Arditi  Série

1990 L’amour maudit de Leisenbohg ( das schicksal des freiherrn von Leisenbohg ) de Edouard Molinaro avec Anouk Aimée  + scénario
                TV Le gorille – de Edouard Molinaro avec Karim Allaoui
                Série – Réalisation de l’épisode « La peau du gorille »

1991 Méchant garçon – de Charles Gassot avec Catherine Hiegel
                Seulement interprétation
                TV Coup de foudre – de Edouard Molinaro avec Catherine Zeta-Jones
    Série – Réalisation des épisode « Grand, beau et brun » & « Résurgence »

1992 Le souper – de Edouard Molinaro avec Claude Rich  + adaptation, dialogues & scénario
                TV La femme abandonnée – de Edouard Molinaro avec Charlotte Rampling + scénario

1995 The birdcage ( birds of a feather ) de Mike Nichols avec Gene Hackman
    Seulement sujet original
                Beaumarchais, l’insolent – de Edouard Molinaro avec Fabrice Luchini  + scénario
                TV Ce que savait Maisie – de Edouard Molinaro avec Sophie Duez

1998 TV Nora – de Edouard Molinaro avec Jean-Michel Dupuis + scénario
                TV H – de Edouard Molinaro avec Jamel Debbouze
                 Série – Réalisation de 18 épisodes entre 1998 & 1999

1999 TV Tombé du nid – de Edouard Molinaro avec Bruno Solo

2000 TV Nana – de Edouard Molinaro avec Lou Doillon  + scénario

2001 TV Le mal de mère – de Edouard Molinaro avec Michel Aumont   + scénario
                TV Madame Sans-Gêne – de Philippe de Broca avec Mathilde Seigner
    Seulement adaptation & scénario

2002 TV Un homme par hasard – de Edouard Molinaro avec Frédéric Diefenthal

2004 TV Une famille pas comme les autres – de Edouard Molinaro avec Line Renaud
                TV Navarro – de Edouard Molinaro avec Roger Hanin
    Série – Réalisation des épisode « Manipulation » & « Double meurtre »

2005 TV Les hommes de cœur – de Edouard Molinaro avec Patrick Catalifo
    Série – Réalisation des épisode « Nawin », « Le mal du pays » & « Pilote »
                TV Le tuteur – de Edouard Molinaro avec Roland Magdane
    Série – Réalisation de 5 épisodes entre 2005 & 2008

2007 TV Scénarios contre les discriminations – de Edouard Molinaro avec Héléna Noguerra
    Série – Réalisation de l’épisode « Dirty slapping »


Edouard Molinaro et le Jazz





Retour à La Réole :
    Édouard Molinaro est resté en contact avec ses amis d'enfance Pierre Andrieux Laclavetine et Annie Grillon en particulier.

2010 échange à la librairie 

    En 2012, il présente sa carrière lors d'une séance de L'université Populaire du Cinéma au Jean Eustache à Pessac cliquer ici
Les versions intégrales des interviews  
de Pierre Andrieux Laclavetine et Annie Grillon




Des souvenirs   

Raymonde Bouchon (épouse Brunet), se souvient être "montée" à Paris en 1947 ou 1948 avec son oncle Jean Bouchon et Georges Molinaro (le père de Édouard), qui lui amenait du linge et du ravitaillement. Édouard habitait rue Monge..
 
Des informations récentes

- Edouard Molinaro – “L’Homme pressé” (1977)

Cinéaste prolifique ayant traversé près de quatre décennies de cinéma français, Édouard Molinaro est souvent réduit à ses adaptations de pièces à succès (La Cage aux follesL’Emmerdeur) ou ses comédies avec Louis de Funès (HibernatusOscar). C’est pourtant dans le polar qu’il débute en 1958 avec Le Dos au mur, écrit par Frédéric Dard, après des premiers pas dans le documentaire dès la fin des années 40. S’ensuivent d’autres films noirs tels qu’Un Témoin dans la ville (très bonne série B en forme de chasse à l’homme avec Lino Ventura) ou La Mort de Belle, avant qu’il ne se tourne vers un registre plus léger. Issu de la même génération que les chefs de file de la Nouvelle Vague, il choisit de perpétuer un certain cinéma populaire et fait tourner les plus grandes stars, de Bardot à Belmondo, en passant par Luchini, Brel, Moreau et même Anthony Perkins. Véritable stakhanoviste, il enchaîne parfois deux longs-métrages par an tout en travaillant en parallèle pour la télévision, où il finira sa carrière, début 2000, en réalisant quelques épisodes de H notamment. En 1977, tout juste après avoir bouclé l’inénarrable Dracula père et fils (qui réunit Christopher Lee, Bernard Menez, Gérard Jugnot et Catherine Breillat), Alain Delon lui propose de mettre en scène L’Homme pressé, sur les conseils de Mireille Darc, qui avait tourné pour Molinaro dans Le Téléphone rose deux ans auparavant. Tiré d’un roman de Paul Morand (académicien, ambassadeur sous le régime de Vichy et antisémite notoire), le script est coécrit par Maurice Rheims (auteur et célèbre commissaire-priseur) et Christopher Frank, scénariste d’Attention, les enfants regardent de Serge Leroy et futur réalisateur de L’Année des méduses. Pierre Niox (Delon) est un collectionneur d’art qui vit à cent à l’heure, enchaînant acquisitions d’œuvres, négociations, conquêtes féminines, jusqu’à sa rencontre avec Edwige de Bois-Rosé (Mireille Darc), une jeune femme avec qui il entame une relation plus sérieuse qu’à l’accoutumée. Studio Canal propose une réédition de ce long-métrage étonnant au sein de sa collection Make My Day ! pour la première fois en master haute définition en combo Blu-Ray / DVD.

(Capture d’écran DVD © Studio Canal)

Il se dégage de cette adaptation une sensation étrange de film malade, comme tiraillé entre les ambitions de ses deux créateurs : Molinaro et Delon. Le récit s’articule autour de certaines œuvres que convoite le héros : des ruines romanes dans le jardin d’une grande bâtisse, des masques africains et enfin, véritable Graal, un inestimable vase étrusque. Diverses objet de désir pour ce dernier qui perçoit la vie comme une course contre le temps qui passe, voire « contre la mort » (comme le déclare le cinéaste dans l’interview d’époque présente en bonus), faisant de son obsession de collection, un palliatif à son mal-être profond. Véritable esthète, il connaît ses seuls instants de calme lorsqu’il admire ce qu’il veut le plus, à l’image de ce moment suspendu où il fait face à la poterie dont il rêve depuis des années. Le réalisateur apporte son savoir-faire dans la mise en scène des excellents dialogues, dessinant ses personnages en un mot, un geste, un regard. Il tente ici de coller au plus près de son protagoniste et de son credo « la vie c’est le mouvement », en ayant uniquement recours à l’image. Si cela fait parfois mouche, comme lors de cette scène très drôle où un maître d’hôtel italien peine à suivre le rythme de l’amateur d’art, ou dans le climax au suspense implacable situé en pleine vente aux enchères, il se repose parfois sur la seule force d’un montage signifiant. On passe ainsi de Venise à Paris en un cut, épousant la frénésie de Niox rendant encore plus marquants les rares gestes tendres dont il fait preuve, mais la réalisation manque, quant à elle, cruellement de dynamisme. Dans son introduction, Jean-Baptiste Thoret précise qu’Édouard Molinaro s’est enfermé dans le seul registre de la comédie suite à son premier succès commercial, Arsène Lupin contre Arsène Lupin en 1962, délaissant ainsi les polars de ses débuts. L’échec de L’Homme pressé le poussera pourtant à revenir au registre comique avec La Cage aux folles, qu’il avouera détester. Ici, bien qu’il fasse montre d’un humour souvent bien venu au sein d’une histoire pour le moins tragique (les préjugés retournés contre les Occidentaux lors du passage en Afrique constituent un parfait exemple), il renoue avec une certaine efficacité dans les montés de tension. En cela, la scène d’introduction offre une démonstration parfaite de son ambition. Du silence pesant accompagnant les derniers instants d’un vieil homme mourant alors qu’une horloge égraine les secondes, à cet hélicoptère dévoilant un Pierre pressant le pas avant que le prêtre n’arrive, toutes les thématiques se retrouvent condensées en quelques minutes sans qu’aucun mot ne soit échangé. Jusqu’à l’ultime (et très belle) image, accompagnée par la bande originale de Carlo Rustichelli (compositeur, entre autres, de Meurtre à l’italienne ou Opération Peur), la caméra ne lâche jamais le personnage, l’acteur. Dans son long entretient (d’autant plus amusant qu’il confesse ne pas aimer le film, lui reprochant son esthétique quasi télévisuelle typique de la fin des années 70) Frédéric Taddeï soulève un point important, la tendance de Molinaro à se laisser « bouffer » par ses acteurs stars, perdant, en partie, la paternité de son travail. De Funès, Luchini (voire Francis Veber, scénariste de L’Emmerdeur et du Téléphone Rose) ont ainsi tous tenté de prendre le dessus sur le metteur en scène, ce qui fut également le cas de Delon qui, comme le précise le journaliste, n’était « discipliné que lorsqu’il tournait pour des génies ».

(Capture d’écran DVD © Studio Canal)

Sorti à la toute fin de la partie la plus intéressante de la carrière de l’acteur, précisément la même année que Mort d’un pourri de Georges Lautner et Armaguedon d’Alain Jessua, le film peut être lu comme un autoportrait plus ou moins subtil de l’homme. Après cela, Delon se tourne définitivement, durant les 80’s, vers des œuvres autocentrées et caricaturales qu’il interprète, écrit, produit, voire réalise (Pour la peau d’un flic où il retrouve Mireille Darc et Christopher Frank au scénario). Ici, il incarne sans difficulté ce quadra parvenu, à qui tout réussit, arrogant, déterminé et égoïste, prêt à tout pour posséder ce qu’il désire, biens matériels comme personnes. Ne prêtant que peu d’intérêt à la vie et à la dignité humaine, il n’hésite pas à « offrir » une jeune fille à un vendeur potentiel (avant de lui donner quelques billets « pour l’humiliation ») ou de dire à sa femme enceinte qu’un enfant est « médicalement achevé à sept mois », impatient d’enfin tenir sa nouvelle acquisition, son fils. Passionné et entêté, il n’hésite pas à détruire des ruines centenaires quand on lui refuse l’achat d’un terrain, renvoyant, comme le stipule Taddeï, au personnage de Gary Cooper dans Le Rebelle de King Vidor. Sonnant comme une véritable confession, le film épouse les nombreuses déclarations du comédien à propos de son sujet de prédilection : lui-même (comme en atteste cette interview pour la RTS datée de 1975). Speed, très expressif, il offre une composition très éloignée de son impavide Samouraï, face à une Darc (alors sa compagne dans la vie), ironique et guère impressionnée. Se dévoile alors entre eux le reflet probable de leur véritable couple, renfonçant la dimension autobiographique amusante et touchante. Pierre, que seule la conquête excite (il ne possède pas les œuvres qu’il achète), se retrouve ainsi confronté à Edwige et sa sœur, Marie (Monica Guerritore), intègres et totalement désintéressées. Cette dernière lui assène d’ailleurs que s’il désire tant le vase étrusque de ses rêves c’est tout simplement parce qu’il ne lui appartient pas encore. Au travers de cette figure toujours en mouvement, en recherche d’un nouveau but, pris dans une quête frénétique, se dessine donc le portrait d’un artiste ayant créé tout au long de sa carrière, une véritable œuvre personnelle. Exemple rare de comédien-auteur, Delon a toujours brouillé les pistes entre ses rôles et sa propre existence (même inconsciemment, en témoigne la sordide similarité entre le scénario de La Piscine et l’affaire Marković à laquelle il se retrouve mêlé, comme le rappelle Frédéric Taddéi). Une volonté de contrôle le rapprochant des grands moguls de l’industrie hollywoodienne, quitte à vampiriser les projets auxquels il participe. C’est là que se trouve le véritable intérêt de cet Homme pressé, film inégal mais attachant et symptomatique de l’égocentrisme d’une star qui ne s’est peut-être jamais autant livré que dans ce long-métrage.


- Une très belle épitaphe par Serge TOUBIANA (directeur de la cinémathèque Française) ICI

-   Le réalisateur Édouard Molinaro s'est éteint samedi à l'âge de 85 ans. L'écrivain Tahar Ben Jelloun lui rend un vibrant hommage. Publié le 07/12/2013 à 18h12

Mon cher Édouard,

    Nos vergers d'amitié sont éteints depuis que tu n'es plus. Cette nuit, mon insomnie a été cruelle et ma pensée abreuvée de mauvais présages. La nuit et ses foyers nous assènent des vérités détestables. Le départ à l'aube, car tout se fatigue. La voix, le regard et la main qui ne se tend plus. J'avais pour toi de l'admiration, de l'estime et de l'amitié avant de t'avoir rencontré. Je regardais tes films avec beaucoup de plaisir, car tu parvenais à allier la qualité, l'exigence et le grand spectacle. Tu étais un cinéaste populaire dans le sens le plus noble.
    Tu aimais le cinéma et, avec les films que tu réalisais, tu partageais avec un grand public ton amour du travail bien fait, ta passion pour la subtilité et l'intelligence, ta disponibilité pour laisser ta curiosité te mener vers des horizons insoupçonnés.
    Tu aimais raconter des histoires. Tu avais ce talent rare qui consiste à atteindre la belle simplicité, la superbe limpidité d'une histoire.
    Tu avais un sens aigu du récit et jamais je ne me suis ennuyé ou perdu dans un des tes films. Ça ressemble à un cours d'eau pure qu'aucun obstacle ne vient empêcher.
    Ton travail de cinéaste, reconnu et admiré, tu n'en parlais pas. Ta modestie me faisait baisser les yeux. Quand tu as enfin décidé d'écrire ta biographie, ton humilité a pris le dessus et tu nous as prévenus dès la première page : "Je ne m'intéresse que très médiocrement à ma petite personne."
    Mais nous, nous étions, nous sommes très intéressés par toi, par ton regard sur les choses, par ton humour, par tes gestes débordant d'humanité et de fraternité. Tu vas nous manquer terriblement.

    Tu disais toi-même que tu as "atteint la date de péremption" parce que six scénarios gisaient sur ta table et que ça n'intéressait plus personne car, comme tu l'as souligné, "le cinéma se nourrit de l'air du temps, et l'air y circule beaucoup plus vite qu'ailleurs".

    Cela n'a pas entamé ta gourmandise de lecteur, de découvreur. Tu fréquentais les cinémas en bon cinéphile, tu lisais les romans qu'on te conseillait et tu passais du temps à fabriquer des maquettes d'avion, ton autre passion.

    Chacune de mes visites était nourrie par du savoir. J'apprenais toujours avec toi quelque chose de nouveau. La dernière fois, quelques jours avant que tu n'entres à l'hôpital pour un contrôle, nous avons parlé aviation. C'était passionnant. Nous avons aussi discuté du prix Goncourt et du choix de cette année que tu trouvais judicieux. Un dîner chez vous ne pouvait être qu'un bonheur d'amitié vive. Catherine, sublime Catherine, faisait la cuisine à merveille.
    Tu ne buvais jamais de vin, mais tu aimais ce qu'elle nous préparait et nous étions tous heureux.

    Mon cher Édouard, je ne sais comment je pourrai me contenter de tes films, je ne sais pas si ta voix que j'entends encore distinctement et qui m'aide à supporter le chagrin pourra éloigner la douleur de l'absence. Tu es là, vivant dans notre coeur, car tant qu'on se souvient de toi, tant qu'on regarde et aime tes films, tu es vivant, parmi nous.
    Nous manquera cette présence chaude et très humaine.

Grands entretiens INA
Paroles de cinéaste
Edouard Molinaro[04:00:45]

Cliquez sur le lien pour visionner l'interview :
https://entretiens.ina.fr/paroles-de-cineaste/Molinaro/edouard-molinaro



1964 - Molinaro à La Réole


Le 10 octobre 1964, Edouard Molinaro, vient présenter au cinéma Casino son film "la chasse à l'homme" avec JP Belmondo Wikipedia-ICI et 

Avec un brochette d'acteurs !!
Jean-Claude Brialy : Antoine Monteil / Claude Rich : Julien Brenot / Jean-Paul Belmondo : Fernand / Marie Laforêt : Gisèle, fiancée d'Antoine / Marie Dubois : Sophie / Yvon Sarray : le père de Sophie / Bernard Meunier : le copain de Sophie / Micheline Presle : Isabelle Lartois, maîtresse de Julien
Michel Serrault : Gaston Lartois / Bernadette Lafont : Flora, une prostituée / Mireille Darc : Georgina, une prostituée / Dominique Page : Mauricette / Catherine Deneuve : Denise Heurtin
Bernard Blier : M. Heurtin / Françoise Dorléac : Françoise Picard, / : Kino Papatakis
Hélène Duc : Mme Armande / Noël Roquevert : le beau-père / Patrick Thévenon : Hubert
Jacques Dynam : un truand....


Il est accueillît d'un œil admiratif par Jean Saubat, propriétaire du cinéma

Interviewé par Jean Jacques Filleau

Félicitations du Maire Jean Delsol


2024 - Un article de Allo Ciné ICI

Du côté des cinéastes, Justine Triet devient le quatorzième Français (ou ayant la double-nationalité) nommé pour l'Oscar de la Meilleure Réalisation. Mais la première femme, après :


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